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Comprendre l'islam conquérant et ce qui attend la France

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  Beaucoup de Français n’ont pas encore entièrement compris la logique de l’islam et ce qui attend notre pays, bien qu’ils se méfient largement. Notre peuple est habitué à la laïcité et à la séparation entre le politique et le spirituel. L’islam ne se limite pas à une foi personnelle, il s’inscrit comme un projet collectif politique et démographique de conquête. Créé au VIIe siècle, il répondait à cette logique de conquête et d’occupation de territoires. Lorsque l’islam est minoritaire, il s’impose par des stratégies claires. La démographie est une arme centrale : l’immigration massive et la natalité élevée sont encouragées. Recep Tayyip Erdogan l’a exprimé sans détour : « Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats », ou encore « Ne faites pas trois, mais cinq enfants, car vous êtes l’avenir de l’Europe » et « Aucune femme musulmane ne peut avoir une approche de planning familial. Nous suivrons la voie indiquée...

L'impôt sur le revenu en France, par Henrik Gunnarsson

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  L'impôt sur le revenu en France - Tranche à 30 % + 9,7 % de CSG = 39,7 % du revenu confisqué à partir de 27.500 euros par an / 2.300 euros par mois. - Tranche à 41 % + 9,7 % de CSG = 50,7 % du revenu confisqué à partir de 74.000 euros par an / 6.150 euros par mois. - Tranche à 45 % + 9,7 % de CSG = 54,7 % du revenu confisqué à partir de 177.000 euros par an / 14.750 euros par mois.  A partir du seuil de 250.000 euros de revenu par an, il faut y ajouter 4 % de CEHR : " contribution exceptionnelle sur les hauts revenus ", créée en 2012 par François Hollande et qui devait soi-disant durer 1 an.  Mais il existe une situation encore pire : le Conseil constitutionnel a plafonné à 75 % le total des impôts qu'un contribuable peut payer, rapporté à son revenu, ce qui veut dire qu'il légalise la confiscation de 75 % du revenu d'un contribuable à qui il ne restera que 25 % de ce qu'il a gagné. Le contribuable devient un esclave de l'État.  Si un impôt sur la dé...

L'impôt est anti économique, par Henrik Gunnarsson

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  Macron a dit : " L'État a mis 40 milliards pour amortir le choc de l'inflation du coût de l'énergie. On doit maîtriser la dette sinon ce sera des augmentations d'impôts dans les décennies à venir." Une augmentation d'impôts ne permet jamais de rembourser une dette. Principe de la courbe de Laffer : plus les impôts sont élevés, plus les recettes fiscales diminuent. Plus on baisse les impôts, plus les recettes fiscales augmentent, parce que c'est l'attractivité pour l'investissement, la croissance économique, la création d'emplois, la consommation, qui permettent d'augmenter mécaniquement les recettes fiscales. Taxer moins un gâteau qui grandit rapporte plus d'argent à l'État que taxer plus un gâteau qui rétrécit. Exemples : En 1980, les 1% des américains les plus riches étaient imposés à une tranche marginale de 70 %. Cette même année, leurs impôts ont représenté 19 % de la somme totale prélevée par le Trésor américain. 24 ans ...

Marine Le Pen est de gauche, par Henrik Gunnarsson

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  Marine Le Pen est de gauche  Marine Le Pen a rebaptisé son parti " Rassemblement National ", mais elle fait exactement l'inverse : elle divise et oppose les français entre eux, en tombant dans le piège de la lutte des classes. Elle oppose les petits aux gros, les pauvres aux " riches ", les salariés aux patrons, les actionnaires aux salariés ( en oubliant que les salariés peuvent aussi être actionnaires. L'actionnariat salarié, Marine Le Pen ne connaît pas ).  Marine Le Pen ne défend pas l'intérêt de l'économie française, elle défend l'intérêt d'une fraction de la population française, qui compose son électorat : les catégories populaires et moyennes inférieures. Dans sa vision du pays, tout ce qui est au-dessus n'existe pas et ne fait pas partie du " peuple." Il ne mérite aucune considération et doit subir le racket fiscal parce qu'il est " privilégié " ( vision marxiste du " peuple ", purement sociolo...

Pourquoi il ne faut pas taxer les " super-profits", par Henrik Gunnarsson

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1 ) L'entreprise Total ne fait aucun bénéfice en France. Elle n'a pas à payer de taxe ou d'impôt sur des bénéfices qui n'existent pas. Elle paye des impôts dans les pays où elle réalise des bénéfices. 2 ) Une taxe sur les " super-profits " est une mesure démagogique et anti-économique. C'est une solution de facilité qui évite de réfléchir. Voilà ce qui se passe quand un État instaure une taxe sur une entreprise : elle répercute immédiatement son augmentation d'impôt sur les prix de ses biens et de ses services. Au final, c'est toujours le client qui paye la taxe, jamais l'entreprise. 3 ) L'argent qui sera prélevé à Total par l'État français à travers cette nouvelle taxe sera perdu pour les investissements sur les énergies alternatives et renouvelables. On ne peut pas en même temps accuser Total de réchauffer la planète et amputer sa capacité à investir en la taxant. 4 ) L'argument utilisé par la gauche : " L'Angleterre, l...

Pourquoi il faut défendre Total, par Henrik Gunnarsson

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  Pourquoi il faut défendre Total  1) Total ne fait aucun bénéfice en France. Il n'a pas à payer de taxe ou d'impôt sur des bénéfices qui n'existent pas. Il paye des impôts dans les pays où il fait des bénéfices.  2) Si Total gagne de l'argent en France, il paye des impôts en France. Son siège social est en France, à la Défense. S'il voulait réduire son impôt, il irait installer son siège en Irlande comme Apple, Google, Facebook, Twitter etc...mais Total a décidé de rester en France et de faire construire un nouveau siège. 3) Total n'a jamais reçu d'aide de l'État parce qu'il n'en a jamais demandé, contrairement à d'autres entreprises du CAC 40 dont l'État est actionnaire. Total est une entreprise privée à 100 %. L'État ne détient aucune part du capital. Total est une entreprise souveraine qui ne mendie pas des aides à l'État. Laisser entrer l'État dans une entreprise, c'est lui donner un droit de regard et un moyen de pre...

Être un esclave de l'État, par Henrik Gunnarsson et Balthazar Picsou

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Être un esclave de l'État Un petit chef de PME gagne 6.000 euros brut mensuel, donc 72.000 euros annuel. Son revenu fiscal de référence a un abattement de 10 % et s'élève donc à 64.800. Il paie 0 % sur ses revenus entre 0 et 1.064 euros. Il paie 11 % sur ses revenus entre 10.065 et 25.659, donc 1.715 euros. Il paie 30 % sur ses revenus entre 25.660 et 64.800, donc 11.742 euros. À ça, il faut ajouter la CSG à 17,2 % de 64.800, donc 11.145 euros. En tout, il paie donc 1.715 + 11.742 + 11.145 = 24.602 euros. Il lui reste donc 72.000 - 24.600 = 47.400. Mensualisé, 47.400 / 12 = 3.950 euros. L'État a donc taxé 34,2 % du revenu brut. Mais il y a encore plus scandaleux : Un chef d'entreprise gagne 12.000 euros brut par mois : il lui reste 6.886 euros net par mois, l'État lui a confisqué 42,6 % de son revenu. Cela veut dire que du 1er Janvier au 4 Juin, soit 5 mois de l'année, il ne gagne pas un seul centime. L'intégralité de son revenu des 5 prem...